mardi 8 septembre 2009
lundi 7 septembre 2009
De Jacques Brel la chanson que je préfère
Vieillir c'est garder sa jeunesse comme un beau souvenir
C'est s'habituer à vivre un peu au ralenti
Réapprendre son corps pour pouvoir s'interdire
Ce que la veille encore on se savait permis
Se dire à chaque fois lorsque l'aube se lève
Que quoi que l'on y fasse on est plus vieux d'un jour
A chaque cheveux gris se séparer d'un rêve
Et lui dire tout bas un adieu sans retour
Vieillir c'est se résigner à rester sur le rivage
Espérer pour ses fils un avenir heureux
C'est vivre dans son coin sans devenir sauvage
Se laisser ignorer tout en restant près d'eux
Et c'est pouvoir enfin apprivoiser l'amour
Faire une symphonie aux accords de sagesse
C'est aimer une femme pouvoir lui faire la cour
Pour d'autres raisons que la plastique de ses fesses
Vieillir ce n'est plus faire l'amour mais c'est faire la tendresse
Ce n'est plus dire encore c'est murmurer toujours
C'est sentir dans sa main une main qu'on caresse
Et trembler à l'idée qu'elle vous quittera un jour
Vivre dans un jardin où l'on peut s'attendrir
Se prendre par le cœur et lui dire je t'aime
Avouer qu'on l'a trompée mais osera-t-on lui dire
Quand on sait maintenant qu'on s'est trompé soi-même
Vieillir c'est s'inquiéter soudain du salut de son âme
Entrer dans une église sans bien savoir pourquoi
De tous les Saints Patrons devenir polygame
Et avoir des frissons en regardant la croix
C'est ignorer la fin d'un sketch qu'on a écrit
Vouloir rejouer encore devant ses spectateurs
En cherchant une réplique ou bien un mot d'esprit
Tout en sachant très bien qu'on en n'est pas l'auteur
Vieillir c'est s'en aller un jour sans jamais faire de vagues
En une heure, un endroit qu'on ne choisira pas
Sentir un soir quelqu'un qui souffle votre flamme
Disparaître doucement parce que c'est comme ça
Vieillir... Vieillir...
C'est s'habituer à vivre un peu au ralenti
Réapprendre son corps pour pouvoir s'interdire
Ce que la veille encore on se savait permis
Se dire à chaque fois lorsque l'aube se lève
Que quoi que l'on y fasse on est plus vieux d'un jour
A chaque cheveux gris se séparer d'un rêve
Et lui dire tout bas un adieu sans retour
Vieillir c'est se résigner à rester sur le rivage
Espérer pour ses fils un avenir heureux
C'est vivre dans son coin sans devenir sauvage
Se laisser ignorer tout en restant près d'eux
Et c'est pouvoir enfin apprivoiser l'amour
Faire une symphonie aux accords de sagesse
C'est aimer une femme pouvoir lui faire la cour
Pour d'autres raisons que la plastique de ses fesses
Vieillir ce n'est plus faire l'amour mais c'est faire la tendresse
Ce n'est plus dire encore c'est murmurer toujours
C'est sentir dans sa main une main qu'on caresse
Et trembler à l'idée qu'elle vous quittera un jour
Vivre dans un jardin où l'on peut s'attendrir
Se prendre par le cœur et lui dire je t'aime
Avouer qu'on l'a trompée mais osera-t-on lui dire
Quand on sait maintenant qu'on s'est trompé soi-même
Vieillir c'est s'inquiéter soudain du salut de son âme
Entrer dans une église sans bien savoir pourquoi
De tous les Saints Patrons devenir polygame
Et avoir des frissons en regardant la croix
C'est ignorer la fin d'un sketch qu'on a écrit
Vouloir rejouer encore devant ses spectateurs
En cherchant une réplique ou bien un mot d'esprit
Tout en sachant très bien qu'on en n'est pas l'auteur
Vieillir c'est s'en aller un jour sans jamais faire de vagues
En une heure, un endroit qu'on ne choisira pas
Sentir un soir quelqu'un qui souffle votre flamme
Disparaître doucement parce que c'est comme ça
Vieillir... Vieillir...
dimanche 6 septembre 2009
6:13 dimanche 6 septembre."Vienne la nuit ...
« Vienne la nuit* , sonne l'heure. Des gens s'amusent, d'autres meurent » . Francis Blanche
* ou vienne le jour
Flou? Flou? C'est vraai?
samedi 5 septembre 2009
vendredi 4 septembre 2009
L'illusion positive
"Ah, s'il était ici !...
S'il me voyait ainsi !
Comme une demoiselle,
Il me trouverait belle."
Marguerite alias La castafiore dans le Faust de Gounod
Steven Siewert
Corps de balai
Lumière d'automne
jeudi 3 septembre 2009
mardi 1 septembre 2009
lundi 31 août 2009
dimanche 30 août 2009
samedi 29 août 2009
Le temps qu'il fait passe
vendredi 28 août 2009
Hier 27 aoùt c'était le demi anniversaire ...
... d'une petite elle qui vient en ville cet après-midi, youkaïdi.
NB Le montage a déjà été publié précédemment.
jeudi 27 août 2009
Quand nous rions, ...
mardi 25 août 2009
lundi 24 août 2009
Avant de prendre le bus en début de soirée
Dimanche sur la Batte
dimanche 23 août 2009
Nous n'aimions pas les mots doux.
"Papa, papa, il n’y eut pas entre nous, papa, papa, de tendresse ou de mots doux Pourtant on s’aimait, bien qu’on ne se l’avouât pas, papa, papa, papa, papa". Maman, papa de Georges Brassens.
C'est sûrement une lacune de ne pouvoir jamais en dire de mots doux ou de petits compliments même si et surtout si on en éprouve le désir.
C'est sûrement une lacune de ne pouvoir jamais en dire de mots doux ou de petits compliments même si et surtout si on en éprouve le désir.
Lune et linguistique commencent par -l, ;-)
De la même façon que certaines notions diffèrent d'une langue à l'autre, par exemple la notion de fleuve qui est particulière au français et à l'italien, le genre des noms diffère aussi et l'image du nom influence alors l'imaginaire en tenant compte du genre.
En fait en me levant je me suis demandé si la lune était encore nouvelle ou ascendante et je me suis souvenue de la langue allemande et puis du grec.
La lune et le soleil ont le même genre dans notre langue qu'en grec ancien: la lune se dit "σελήνη" ( selanna ) et le soleil "Ἥλιος" ( hélios).
La notion de féminité dite passive qui s'oppose au soleil mâle, actif, trouve son origine dans la langue et la mythologie grecque. Les siècles ont passé, les langues ont voyagé avec les peuples, les marchants et les poètes ont mélangé leur langages à d'autres.
Le terme "lunatique" est dérivé du cycle menstruel (de même durée) de la femme, mais c'est un détail.
La pensée des personnes forgent leur langage et réciproquement aussi peut être.
En fait en me levant je me suis demandé si la lune était encore nouvelle ou ascendante et je me suis souvenue de la langue allemande et puis du grec.
La lune et le soleil ont le même genre dans notre langue qu'en grec ancien: la lune se dit "σελήνη" ( selanna ) et le soleil "Ἥλιος" ( hélios).
La notion de féminité dite passive qui s'oppose au soleil mâle, actif, trouve son origine dans la langue et la mythologie grecque. Les siècles ont passé, les langues ont voyagé avec les peuples, les marchants et les poètes ont mélangé leur langages à d'autres.
Le terme "lunatique" est dérivé du cycle menstruel (de même durée) de la femme, mais c'est un détail.
La pensée des personnes forgent leur langage et réciproquement aussi peut être.
samedi 22 août 2009
vendredi 21 août 2009
Un petit mot de Boris Vian
" Un bon chien vaut mieux que deux kilos de rats."
Puis une citation de Pierre Desproges: "On peut rire de Le Pen, mais pas avec Hitler!"
Puis une citation de Pierre Desproges: "On peut rire de Le Pen, mais pas avec Hitler!"
Inscription à :
Articles (Atom)