Le printemps à Oxford est de toute manière vulgaire mais ce printemps-ci a je ne sais quoi qui m'agace. Franchement ces cerisiers sont absurdes. On se demande si une telle abondance de fleurs est vraiment nécessaire. A croire presque que les arbres le long de Woodstock Road essaient de prouver quelque chose - une sorte de vantardise florale, histoire d'en mettre plein la vue au reste d'une végétation moins avancée.
Vidéo pour adultes, Visions fugitives, William Boyd
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