vendredi 11 juillet 2008
lundi 7 juillet 2008
Cage dorée
La non-demande en mariage
de Georges Brassens
Ma mie, de grâce, ne mettons
Pas sous la gorge à Cupidon
Sa propre flèche
Tant d'amoureux l'ont essayé
Qui, de leur bonheur, ont payé
Ce sacrilège...
R:
J'ai l'honneur de
Ne pas te de-
mander ta main
Ne gravons pas
Nos noms au bas
D'un parchemin
Laissons le champs libre à l'oiseau
Nous serons tous les deux priso-
nniers sur parole
Au diable les maîtresses queux
Qui attachent les cœurs aux queues
Des casseroles!
...
de Georges Brassens
Ma mie, de grâce, ne mettons
Pas sous la gorge à Cupidon
Sa propre flèche
Tant d'amoureux l'ont essayé
Qui, de leur bonheur, ont payé
Ce sacrilège...
R:
J'ai l'honneur de
Ne pas te de-
mander ta main
Ne gravons pas
Nos noms au bas
D'un parchemin
Laissons le champs libre à l'oiseau
Nous serons tous les deux priso-
nniers sur parole
Au diable les maîtresses queux
Qui attachent les cœurs aux queues
Des casseroles!
...
dimanche 6 juillet 2008
Lignes droites, courbes, silhouettes
Pour posséder, il faut avoir désiré. Nous ne possédons une ligne, une surface, un volume que si notre amour l'occupe.
Marcel Proust
Marcel Proust
jeudi 3 juillet 2008
Lignes, lignes droites, courbes, silhouettes
Dieu écrit droit avec des lignes courbes.
Paul Claudel
Pour posséder, il faut avoir désiré. Nous ne possédons une ligne, une surface, un volume que si notre amour l'occupe.
Marcel Proust
Paul Claudel
Pour posséder, il faut avoir désiré. Nous ne possédons une ligne, une surface, un volume que si notre amour l'occupe.
Marcel Proust
Villes, ville .. to be continued
"La ville est un corps strié d'artères, des accents rythment son territoire. À chaque rue, angle ou mot, elle s'invente une figure où circuler entre des fictions, des passions, image du vertige. La ville est pulsion, réserve dont les enjeux inscrivent les éclats d'un chant. La ville est horizon. La ville est mémoire, saccade, utopie, livre ouvert sur l'époque. En cela elle cite les signes du multiple. Dans ce décor, les mots déploient une histoire infinie. La ville est proposition. La ville est débordement, secret. La ville est métonymie. Projets, fractures, écritures, amours, tensions, la ville est un hasard concret, ses dédales filent l'idée. Et la ville remue, énergie d'une géographie, écho aux dérives dans l'ailleurs ..., ma voix d'accès à la réalité."
Claude Beausoleil Ville Concrète
Quelques mots personnels:
La ville m'apparaît à la fois anonyme et chaleureuse. Elle me semble à l'opposé du rejet de toute différence évoqué par un film allemand de 1968 qui m'a beaucoup marqué à l'époque et dont je me souviens avec acuité.
Il s'agit de Scènes de chasse en Bavière de Peter Fleischmann
Claude Beausoleil Ville Concrète
Quelques mots personnels:
La ville m'apparaît à la fois anonyme et chaleureuse. Elle me semble à l'opposé du rejet de toute différence évoqué par un film allemand de 1968 qui m'a beaucoup marqué à l'époque et dont je me souviens avec acuité.
Il s'agit de Scènes de chasse en Bavière de Peter Fleischmann
lundi 30 juin 2008
samedi 28 juin 2008
mercredi 25 juin 2008
Ville, villes, je vous aime.
Les villes devraient être bâties à la campagne : l'air y est tellement plus pur.
Henri Monnier
Henri Monnier
mardi 24 juin 2008
jeudi 19 juin 2008
mercredi 18 juin 2008
mercredi 11 juin 2008
samedi 7 juin 2008
mercredi 4 juin 2008
Green
Voici des fruits, des fleurs, des feuilles et des branches,
Et puis voici mon coeur, qui ne bat que pour vous.
Ne le déchirez pas avec vos deux mains blanches
Et qu'à vos yeux si beaux l'humble présent soit doux.
J'arrive tout couvert encore de rosée
Que le vent du matin vient glacer à mon front.
Souffrez que ma fatigue, à vos pieds reposée,
Rêve des chers instants qui la délasseront.
Sur votre jeune sein laissez rouler ma tête
Toute sonore encor de vos derniers baisers ;
Laissez-la s'apaiser de la bonne tempête,
Et que je dorme un peu puisque vous reposez.
Paul verlaine (1844-1896)
Romances sans paroles (1872)
Voici des fruits, des fleurs, des feuilles et des branches,
Et puis voici mon coeur, qui ne bat que pour vous.
Ne le déchirez pas avec vos deux mains blanches
Et qu'à vos yeux si beaux l'humble présent soit doux.
J'arrive tout couvert encore de rosée
Que le vent du matin vient glacer à mon front.
Souffrez que ma fatigue, à vos pieds reposée,
Rêve des chers instants qui la délasseront.
Sur votre jeune sein laissez rouler ma tête
Toute sonore encor de vos derniers baisers ;
Laissez-la s'apaiser de la bonne tempête,
Et que je dorme un peu puisque vous reposez.
Paul verlaine (1844-1896)
Romances sans paroles (1872)
dimanche 1 juin 2008
vendredi 30 mai 2008
mardi 27 mai 2008
mardi 20 mai 2008
Inscription à :
Articles (Atom)