Ils sont revenus, ils sont tous là.

Les personnes dont le cours des choses nous séparent je revois un jour ou l'autre le sosie, même regard, même gravité timide,... à moins qu'il ne s'agisse pas d'un sosie.

" Maman est en haut qui fait du gâteau et papa en bas fait du chocolat."
Je n'ai plus de chocolat. ;-(

Je fais des clics, je fais des claques pour mon plaisir. Et ce n'est pas par hasard que je montre mes passants quotidiens.













Voit-on le reflet du caddie qui va apparaître sur la photo ci-dessous?

Excusez-moi de vous demander pardon. ;-) J'aime bien moi.

"Lorsque je lève les yeux,
Je rencontre le ciel
Et je me dis : "Mon Dieu,
Mais c'est sensationnel,
Tant de bleu." ;--)

Les bancs sont de retour, Le genou de Claire (Roehmer) aussi. Mais la photo était archimoche.

Samedi quelques minutes plus tard en attendant un bus:
je préfère l'image ainsi désaturée et recadrée-zoomée.

Clair de lune à ... l'abribus.

Embêtant cette buée sur l'objectif.
Un clic pour voir un petit peu mieux.

Les paroles s'envolent. La pierre reste.
Clic pour mieux voir.

20:00. On dirait que le ciel transpire tant la chaleur de la journée était forte et lourde.
J'aime, j'aime, j'aime.

16:00

Bancs publics













Photo 2010

J'ai l'impression de croiser chaque jour des personnes familières que je ne connais cependant pas.
Mais dès que je me sens impliquée par un lien d'impressions personnelles dans la présence d'un "passant", le rideau tombe et je ne peux pas faire la moindre petite photo.

On dirait le sud.

J'exorcise ma petite phobie. Je pourrais même dire "ma petite folie": elle rentrerait illico dans son trou.

- Du bleu?
- Des bleus. Selon où le regard se porte par rapport au soleil. Le plus bleu est presque à l'opposé de celui-ci.

6:30 ce matin