lundi 23 novembre 2009

Cette chanson d'Eddie Mitchell, ...



... je la dédie à F.K.

Je dédie le livre de David Grann à mister Blog ensoleillé, ..

Je dédie "cheese" à la capitale de la wallonie depuis 1986, pour sa douce lenteur et celle de son parler ...

.. et à moi l'amertume des oranges pour le cas improbable où elle viendrait à me manquer.

Ainsi va la vie.


Série de dimanche
Maastricht with M DPK
Sint Amorsplein

floue mais j'aime bien la scène

Le ruban blanc de Michael Haneke

Nieuwstraat

Bécassine
Cuisine

dimanche 15 novembre 2009

Dimanche 15 du 11

samedi 14 novembre 2009

Vendredi, fin de semaine


L'école est finie

vendredi 13 novembre 2009

Les arbres se montrent et ...

... et j'aime bien car, je sais que c'est vilain et banal, je déteste les feuilles mortes.
Quand ils seront tous tout dépouillés, dans un mois, les arbres fomenteront une nouvelle renaissance pétaradante grâce à la lumière qui n'en finira plus d'augmenter.

jeudi 12 novembre 2009

Tôt, très tôt .. .


... très tôt le matin, quand la cuisine-bureau s'éclaire et se réchauffe, entourée de l'obscurité froide et humide, le matin ça me plaît: la page est à écrire. Tout est possible.
En fin de journée je rétrécis. Par manque ...de café ptête.

mercredi 11 novembre 2009

Souvenir d'un film extraordinaire: La déchirure




Les deux films de Roland Joffé qui m'ont le plus marquée sont La déchirure bien sûr et puis Mission.

Les nouvelles confessions, William Boyd, extrait

"..Je continuai à ramper jusqu'à ce que j'atteigne des barbelés. Les lignes allemandes? Je jetai un coup d'oeil en arrière. Je ne pouvais rien voir. Je me retournai. Etait-ce la ferme, là-haut? j'aurais dû pouvoir répondre facilement: après tout, nous étions censés garder cette hauteur - mais mon univers décentré et plongeant sur la gauche m'avait rendu insensible aux angles de montée. J'eus l'impression déconcertante, tout à coup, que je me déplaçais parallèlement à notre ligne de front.. J'obliquai donc , non sans difficulté, sur la droite, appuyé à la pente, et me sentis glisser. Je tombai immédiatement sur Pawsey et Louise. Pawsey avait reçu une balle dans la poitrine.Une mousse cerise séchait sur ses lèvreq.Il essayait de parler mais seules des bulles roses se formaient et crevaient dans sa bouche. ... "
L'action se passe dans une tranchée en 1917. C'est raccourci et c'est pas du Céline.

C'était par un des nombreux dimanches ensoleillés: le 8 novembre


la gare des Guillemins
sur un quai

tout en haut

Tout en bas