Parler météo banal?
Si les repas en soirée au jardin le sont, si lire ou paresser à l'ombre de grands arbres dans la touffeur de l'été c'est banal, alors le temps qu'il fait: pftt!

Nuages blanc-sale en une masse figée, en dessous la tiédeur et la vie qui "se modifie".

Mes personnages ont - pour moi du moins - quelque chose de différent des autres en plus. Cela ne signifie pas nécessairement que j'arrive à le montrer bien sûr.

Ce monsieur n'a pas de caddie "i love u ". Dommage. Mais je crois qu'il fera d'autres passages sur ces ondes.

Dans un moment on pourra écrire sur les vitres embuées d'un bus en torpeur.

Devant la porte d'entrée. Et ooups! Comme sur de la glace en hiver.

Le soleil est là, filtré par les fins nuages discrets mais volontaires
Lumière dure du midi.
NB Photo à refaire:ça cloche à droite

Soleil cadeau. Semi contrejour

Très tôt le matin

Il n'est rien qui soit pour un homme plus infinie torture que ses propres pensées.
John Webster

Atmosphère ici aujourd'hui

Sous les feux de la rampe:
ixième version (différente) de ce mur. (couleurs modifiées par les vitres du bus)

Ombre et soleil. Bleu soleil.

Sans signification. Pour la lumière revenue et l'ombre qui la met en valeur.

Vivement l'été prochain!
NB La photo a été prise l'été dernier

Petite suite en mich mineur sur 3 notes













... by gas?
Ecouter plus bas la chanson d'Henri Salvador.
Siouplaît.

"
And who by fire?
Who by water?
Who in the sunshine?
Who in the night time?
Who by high ordeal?
Who by common trial?
Who in your merry merry month of May?
Who by very slow decay?
And who shall I say is calling?
(Who shall I say is calling?)" (Leonard Cohen)