Et vive les pixels, ma mère.

Hier soir. Avant qu'elle ne file très, très haut comme un de ces ballons-pub distribués à l'envi ces jours-ci en ville par notre opérateur de télécommunication.

Bout à bout à bout à bout etc. Quotidien.

Une de mes photos préférées. Pour la lumière éblouissante et pour le couple que ....

" Les mots bleus c'est pour les garçons.
--Pour les filles c'est morose."

Même google ne m'a pas aidé à retrouver le nom de celui qui a dit ça.

Personnellement je n'aime vraiment pas le rose.

Ce n'est pas le temps des cerises et l'intérieur du frigo n'est pas rose.

Deux petites photos que je montre avant la pluie.

La couleur console d'être comme on est, où on est. La grisaille tapie à l'ouest du ciel, prête à bondir, mouiller, refroidir, certains s'y font. D'autres pas

Je jure en crachant (ou l'inverse) que le bleu de ma toile plastifiée est natutrel.

Rire de mourir et mourir de rire. Jacques Prévert

Trois clichés chemin faisant sous le soleil en chronologie.
Ci-dessus un supermarché Trafic, une autre version d'Aldi, je crois.

Mais non, mais non il n'y a-u-c-u-n drame.

... et la nuit la lune s'est levée mais je n'avais pas de petit couteau à lancer. Comprennent ceux qui ont des lettres enfantines.

"
Mais va t’en balancer à ses branches,
Va t’en rêver dans ses jardins,
Va t’en traîner, hanche contre hanche,
Du soir jusqu’au petit matin,
Mais va t’en profiter du temps du lilas,
Du temps de la rose offerte,
Du temps des serments d’amour,
Du temps des toujours, toujours"
Barbara. Le temps du lilas

L'idée me plait mais seuls importent de se réjouir de la joie en attente.

Gauche. Droite

"I love you."
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