2e photo: réédition de la même placée avant-hier

Leonard Cohen DIT sa chanson, il ne la chante pas ici.

"You live your life as if it’s real,
A Thousand Kisses Deep."

NB
Depuis longtemps je n'arrive plus à écrire un mot en gras après l'avoir sélectionné.

8.07 ce matin

Mardi 10:00 du matin
Des arbres. Pas desert.

Rue du Palais. A travers la vitre d'un ébéniste.

... comme une souche, une marmotte ou comme un loir? Ca fait long.
Vivement le joli temps du lilas qui tire du lit, là, d'un coup!
La lumière et l'éveil!

27 ' de gagnées

19 minutes de luminosité gagnées sur l'obscurité.

"The ponies run, the girls are young,
..."

Il y a un peu plus d'un an.

« Trop de colle ne colle plus, trop de sucre n’adoucit plus. » Un proverbe chinois?

Thermomètre, baromètre, hygromètre patinent.

Chapeau.
1600 asa et leur "accompagnement" de nombreux petits grains. Petits ou gros? Ma réponse: C'est une bonne question ça. Fécilitation.

L'homme pressé.
Zou!

Reflet dans le +joint-mastic+ transparent d'un carreau ôtable par un enfant, un enfant en balade dans le petit bois par ici. D'ailleurs à travers la porte de la cuisine je viens d'entendre "Grand-mère, que vous avez de +grandes dents+!". Mais je m'égare sûrement. C'est ça. Il n'y a pas de loup dans le petit derrière chez moi. Ouf!!

Huit minutes de clarté en plus depuis le 28 décembre!
Yeeha!

L'utilitaire qui m'entoure m'intéresse quand il me surprend.

Une petite demi-heure de soleil début d'après-midi.

Un clic ici pour lire un poème de Muriel Modély où il est, entre autres, question de colibris.

De mon petit poste de regard des paysages voisins devenus familiers et qui me fascinent depuis le début.

A thousand kisses deep
"
...
The ponies run, the girls are young,
The odds are there to beat
You win a while, and then its done
Your little winning streak
And summoned now to deal
With your invincible defeat,
You live your life as if its real,
A Thousand Kisses Deep
..."

Quand il a écrit ce poème, il n'avait pourtant pas septante et des ans.

"Vivre ou survivre"


C'est pas du Cohen, du Dylan (B.), de la poésie ou du social (quoique ..). Ca me touche.

Ces lignes m'échappent. Grand angle? Je ne sais plus.
En fait la photo est là pour les rondeurs.

Nostalgie. Nostalgie. C'est un beau mot, très beau.

Le sentiment-nostalgie peut rendre triste. Il renvoie au passé et le passé est émaillé de douceur, de joie, de violence, de réussite, d'échecs, de ridicule, de remords et de tous les autres éléments de la vie.

La nostalgie évoque les bons moments passés que l'on sait révolus et dont on déplore la fuite.
Si l'on regrette la joie et les bonheurs passés, éprouve-t-on la même chose en se rappelant les événements négatifs?

Il faut donc faire un tri dans les souvenirs. Chacun peut-il y arriver? Les souvenirs qui me tiennent le plus à coeur sont ceux de mes enfants plus jeunes parce qu'ils ont une belle et longue vie devant eux.

Entre ces deux périodes colorées il n'y a pas de combat mais une alternance.

Poésie. 3 extraits.

"...
Tu es venue le feu s’est alors ranimé
L’ombre a cédé le froid d’en bas s’est étoilé
Et la terre s’est recouverte
De ta chair claire et je me suis senti léger
Tu es venue la solitude était vaincue
J’avais un guide sur la terre je savais
Me diriger je me savais démesuré
J’avançais je gagnais de l’espace et du temps
..."
Paul Eluard, La mort, l'amour, la vie.

"...
"Mon Dieu, mon Dieu, la vie est là,
Simple et tranquille.
Cette paisible rumeur-là
Vient de la ville."
..."
Verlaine, Le ciel est par-dessus les toits.

"...
Comme la vie est lente
Et comme l'Espérance est violente
..."
Guillaume Apollinaire, Sous le pont Mirabeau.

Je remplace une image de voeux par une autre plus neutre: une carte datant du début du 20e siècle scannée.

Hier soir peu après minuit.

"Waiting For The Miracle"

Baby, I've been waiting,
I've been waiting night and day.
I didn't see the time,
I waited half my life away.
There were lots of invitations
and I know you sent me some,
but I was waiting
for the miracle, for the miracle to come.
...

Je supprime ma légende car l'évocation trop réelle était vulgaire.

"C'est de ta peur que j'ai peur."
Shakespeare

Nous avons gagné 1 minute de clarté.

Double vitrage cuisine. Reflet.

Des bribes d'animation. Des photos sans peps pour les montrer.

Trois.

Un jour ou l'autre les choses et les personnes seront lumineuses. Alors je montrerai la lumière qui me fascine et se montre ici si souvent. Cette grisaille qui nous baigne prendra bientôt, par contraste, un éclat plus pétaradant.

24 décembre 13:40

Si j'avais contrasté par photoshop, l'image aurait pu devenir esthétique. En fait je voulais faire sentir l'humidité grise et suintante.

Je peux faire leur portrait sans être impressionnée par leur présence comme ça arrive quand je photographie une personne. Elles sont belles et de toute façon leur dégradation m'indiffère. Elles sont de tous calibres. Les "nature-écolo" sont de tous formats, forme régulière ou bizarroïde. Les pommes de mon quartier.
A REFAIRE en grains plus fin.

Bon Noël aux gentils visiteurs!

Don't hurry, man! Be cool.

NB De tout nouveaux éclairages empêchent la coloration jaune de la lumière artificielle. Dommage.

Demain c'est le solstice. Les journées rallongent.
"Que du bonheur!", comme ils disent.

Lilas: pause

Ce qui se voit par la fenêtre et me touche par la noirceur

Pour faire voir pourquoi ces arbres des voisins prennent tellement d'importance à mes yeux tant ils semblent envahir la cuisine où je me tiens quand je ne suis pas au centre-ville.
Ma 1e petite vidéo.

"Le désespoir est une défaite anticipée."
de Karl Jaspers

Il y a un an près du marché de Noël.

Avant la tempête

Je pourrais me demander où vont tous ces pigeons, dans quelle contrée mystérieuse où on les aime mieux que moi :)) mais je n'en peux rien: ça me fait de l'effet simplement et je clique. c'est tout.
NB ! A l'avant-plan: une guirlande de Noël

Du soleil sur deux petites images avant le retour annoncé de l'humidité intrusive:

La santé et les ondes gsm passent par La Citadelle (chr).

Mur cuisine à gauche de la porte du jardin.

Double pleine lune. Sans trucage.

Lg. confidential
Petite série. Suite.

- Fumées d'une dernière USINE.
- Vous voyez cette OMBRE NOIRE? Eh bien, c'est déjà mieux que la peur noire (bleue, paraît-il) qu'on éprouve quand un inconnu déboule chez vous.

Ni minimaliste, poétique et/ou artistique c'est le centre d'un petit fruit qui me plaît pour sa forme comme ses autres congénères.
NB Trop de pixels. La photo sera refaite à la lumière du jour.

Météo des plages:
Index: UV 0,6
Température de l'eau: 9°

Not trendy. Just irresistible

Espionnage