Le facteur Ferdinand Cheval meurt. Il laisse un monument étrange qui lui a demandé "10.000 journées de travail, 93.000 heures, 33 ans d'épreuves". Sur 14 mètres de haut, 25 de long et 14 de large, son palais, composé de galets ramassés au hasard des 30 kilomètres de sa tournée quotidienne, est une réalisation incongrue et onirique. Le "fou qui remplit son jardin avec des pierres" est salué par les surréalistes après sa mort comme l'un de leurs grands prédécesseurs. Il a prouvé que l'art n'est pas l'apanage d'un milieu restreint mais peut s'épanouir partout, pour peu qu'il y ait de l'envie et du rêve.
Hier je suis sorti. Aujourd'hui je suis resté à la maison. Je n'ai pas vu la différence. Demain j'essaierai autre chose. Roland Topor ( j'adore cette phrase!)
L'intolérance des tolérants existe, de même que la rage des modérés. Victor Hugo
... sons d'aspiration dégoulinante (?). Une branche du vieux lilas a besoin d'être soutenue. Je vais demander au Pierre de Barbara, la chanteuse d'arranger ça.
Paroles et quelques paroles à part. Pas trouvé ensemble avec un son correct.
William Sheller. Chanson, d'automne
... C'est une chanson que je te donne Tu jettes ou tu fredonnes Elle me servira aussi. ... C'est une chanson qui consume Les petits malheurs qu'on s'exhume Qu'on est tout seul à savoir.
Quand on partage à la brume La solitude de la lune Devant son grand écran noir.
Elles accompagnent mes cafés serrés du petit matin. En hiver c'est le pamplemousse. Mon public :)) saura tout. C'est indécent les blogs âge tendre et tête de bois
... d'une rivière, mais des voix d'enfants, un carillon, une cloche, des sirènes au loin et plein, plein d'oiseaux. Plus maintenant. Wait and see next spring.